le lundi 11 mars à 20 h un débat est organisé: La démocratie et la justice sociale, au secours du climat ? Avec Aurélien Barrau, astrophysicien ; Yves Sintomer, politologue ; Stéphane Labranche, membre du GIEC et les étudiants de CitizenCampu.s MC2, 4 Rue Paul Claudel, 38100 Grenoble Cet évènement et toute la journée du 11 mars est grand public et gratuit/inscriptions sur : participation.lametro.fr Voir le programme complet : 11 mars grand public et 12 – 13 mars réservé aux acteurs et professionnels.
La prochaine marche pour le climat aura lieu le samedi 16 mars, à partir de 13h30 en partant de la gare de Grenoble. A noter aussi la journée internationalité de mobilisation des jeunes, le 15 mars.
En ce début d’année 2019, la mobilisation pour le climat continue et s’amplifie : 150 000 citoyen.ne.s ont battu le pavé en France et en Belgique durant le Week-End action climat. Les lycéen.ne.s, concerné.e.s au premier chef – c’est de leur avenir dont il s’agit – s’emparent eux aussi du sujet et se mobilisent à l’image de Greta Thunberg.
Le dimanche 27 Janvier, les grenoblois.es n’ont pas hésité à braver le froid et la pluie hivernale pour rappeler qu’ils se sentent concerné.e.s par la question climatique et exigent des autorités locales et nationales de respecter leurs engagements internationaux pour l’environnement mais également ceux pris devant les électeurs.
Ce vendredi 16 février, lors d’une conférence de presse à la préfecture de l’Isère, les responsables du projet, ignorant le référé suspensif déposé au Tribunal administratif de Grenoble, se sont félicités d’avancées qui ne convainquent ni les riverains, ni les associations environnementales, et qui ont passablement irrité la ville de Grenoble
La grande annonce attendue de cette conférence, n’en fut pas une. Après l’intervention d’un des journalistes présents, interrogeant les porteurs du projet sur la pertinence de persister à dimensionner une autoroute à 90 km/h, induisant un élargissement notable (alors qu’une 2×3 voies à 70 km/h se contenterait de la surface bitumée actuelle) et une réfection de la plupart des ouvrages de franchissement, c’est visiblement la question de savoir quand exactement serait pris l’arrêté pour la vitesse de circulation qui a dérangé le préfet.
Aider les citoyens à se réunir en réseau et à développer à Grenoble et dans son agglomération des idées et des actions permettant des initiatives citoyennes améliorant la vie démocratique dans la cité