Le samedi 06 juillet 2019 de 9h30 à 16h à la Bifurk à Grenoble
Les Estivales des Grenopolitain.es ! Avec le programme en pdf !

Le samedi 06 juillet 2019 de 9h30 à 16h à la Bifurk à Grenoble
Les Estivales des Grenopolitain.es ! Avec le programme en pdf !
Le Réseau Citoyen se joint à la position exprimée dans le communique de presse ci-dessous :
« Depuis quelques semaines, des équipements publics de Grenoble sont au cœur d’une campagne d’actions militante et médiatique. Celle-ci perturbe le bon fonctionnement du service public, la tranquillité des usagers et expose les fonctionnaires à des tensions inacceptables.
La Ville de Grenoble condamne ces atteintes au règlement intérieur, voté en Conseil municipal et qui s’applique à tou-te-s. Toute personne qui ne respectera pas le règlement sera systématiquement informée de cette infraction et fera l’objet d’une verbalisation. Une exclusion temporaire de l’équipement pourra également être mise en place.
Ce climat de tension est particulièrement préjudiciable dans cette période de forte chaleur : les piscines doivent rester un lieu de fraîcheur, de détente et de convivialité pour toutes et tous.
Je condamne également la stratégie du choc qui est déployée, loin de faire avancer le débat et de chercher à réconcilier une société qui se fracture, elle agite inutilement les peurs et polarise les clivages. Garante de l’intérêt général, la puissance publique ne saurait céder aux injonctions des agitateurs, quelle que soit leur revendication.
Dans ce contexte de tensions, la Ville de Grenoble a fait part de sa décision de ne pas faire évoluer le règlement intérieur des piscines cet été. Seul le débat apaisé, contradictoire, méthodique, est capable de faire grandir l’ensemble de notre communauté.
Par ailleurs, j’ai saisi le Ministère des sports afin que le gouvernement lève toute forme d’ambiguïté sur le statut du maillot de bain couvrant, relativement à l’hygiène et à la sécurité des usagers comme le prévoit la Loi. L’égalité d’accès au service public est un enjeu de cohésion nationale et ne saurait être interprétée en fonction des territoires. »
Eric Piolle, Maire de Grenoble
Ce mercredi 26 Juin, sur l’Esplanade André Farcy à Grenoble (en face de la belle Electrique), rassemblement pour soutenir le Référendum d’Initiative Partagée sur Aéroport de Paris. 4,7 Millions de signatures sont nécessaires ; en quelques jours le nombre de 350 000 est atteint. C’est une course de fond – date limite 12 Mars 2020 – mais il faut dépasser le Million le plus rapidement possible pour créer l’élan et entretenir le rythme !De nombreuses organisations de gauche se mobilisent autour de ce projet et Place Publique Isère s’y associe : rassemblons nos énergies, nos styles, nos raisons et faisons cause commune ! Si vous ne pouvez pas venir et que vous souhaitez soutenir l’initiative, « Signez comme vous êtes ! » A très bientôt L’équipe Place Publique Isère |
Rendez-vous le 26 juin à 19h à l’Hôtel de Ville pour le 3ème Forum Capitale verte européenne sur le thème « Citoyennes au coeur des transitions ».
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Dans le cadre du réaménagement du quartier de l’Esplanade, une nouvelle concertation sur le projet de la Grande Esplanade et du boulevard de l’Esplanade est lancée jusqu’au 5 juin.
https://www.grenoble.fr/558-esplanade-un-quartier-revele.htm
Jusqu’au 20 avril, il est encore possible de déposer des commentaires sur deux projets de décret visant à faciliter les constructions dans des sites classés, aussi bien par rapport au patrimoine naturel que architectural. Le premier transfère la décision sur les autorisations des ministères gérant la protection à la préfecture et réduit les délais d’instruction, le second déclasse 557 sites classés, soit car ils sont classés par une autre mesure (légitime), soit par-ce qu’ils sont soit disant irréversiblement dénaturés. A titre d’exemple, le site du Château d’Uriage y figure. Mais le problème est qu’il n’y a aucun moyen pour connaître facilement le motif du déclassement d’un site. Les déclassements avec les motivations diamétralement opposées se trouvent sur la même liste.
On aurait aimé savoir plus sur les 47 sites irréversiblement dénaturés ou détruits et la défaillance de leur protection!
Cette mesure néolibérale s’inscrit encore dans une politique d’aliénation des bien communs.
Pour en savoir plus :