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Charlotte Marchandise à Grenoble le 14.2. 18h30

Charlotte Marchandise

Charlotte charlotte_marchandiseMarchandise-Franquet, la candidate à l’élection présidentielle dont vous n’avez pas (encore) entendu parler !

Charlotte Marchandise a été désignée sur laprimaire.org par plus de 30 000 personnes pour représenter « les gens ». Les sans partis, les salariés, les chômeurs, les gens normaux, les gens qui n’ont pas toujours eu du bol dans la vie, les gens qui en ont eu mais qui aiment aider les autres, les dégoûtés de la politique, en résumé les citoyens à qui les élites ne parlent plus.

Pour parler de la démarche de sa candidature, du programme et de sa construction, pour parler de vos attentes et pour parler politique et des valeurs qui nous relient.

Comment passer outre des choix imposés par les partis politiques ?

Amphi C, Sciences Po Grenoble – 14 février 2017 – 18h30
1030 av. centrale – Domaine Universitaire, Saint-Martin-d’Hères
Arrêt tram B et C Bibliothèques Universitaires

Rencontre animée par
Philippe Gonnet, journaliste, en présence de :
Raul Magni-Berton, Pr. de sciences politiques
Pascal Clouaire, adjoint au Maire à la démocratie locale
Caroline Schlenker, co-présidente du conseil de
développement de Grenoble-Alpes Métropole

Annonce_Charlotte_Marchandise en pdf

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Café citoyen sur le thème des  » COMMUNS » le 17.01.2017 à 20h

GrenobleUneVillePourTousLe Rassemblement des Citoyens de la Gauche et des Écologistes, RCGE, organise un Café citoyen le 17 janvier 2017 à 20 h, à la Maison des associations, rue Berthe de Boissieux,  sur le thème des  » COMMUNS », après les cafés citoyens consacrés à la Santé, à la MLC ( monnaie locale complémentaire) en 2014 et au logement participatif en 2016.

Les  » COMMUNS » : ce terme fait référence à la notion de « biens communs »  et du terme anglais « commons »: l’air, l’eau, les savoirs, des outils en informatique ( ex: logiciels en accès libre : Linux…), les espaces publics, englobant ce qui fonde la vie au quotidien de tous et donc également les nouveaux processus démocratiques expérimentés avec une participation et une implication citoyenne accrues.

Ces « biens communs »sont à préserver , à dynamiser, car nombreux sont menacés ou font l’objet d’un accaparement au détriment d’autres. Ils sont parfois ôtés à la collectivité ( // privatisation), commercialisés au profit de quelques uns ou de groupes privés et ce de manière irréversible.

Les Communs privilégient la valeur d’usage des ressources plutôt que leur valeur marchande. Cette approche permet entre autre de penser le devenir à long terme du territoire, l’organisation urbaine, la relation entre producteur et consommateur, contribuant ainsi à trouver une façon de penser et de promouvoir le développement durable pour tous et à l’échelle de la planète.

Des exemples de biens communs sont : la gestion municipale de l’eau, du chauffage urbain, la distribution de électricité, les monnaies locales complémentaires, le droit d’usage (# droit de propriété), un nouveau modèle sociétal à élaborer ensemble, la notion de soutenabilité, tout cela fait partie des sujets de débats ouverts par la thématique des Communs.

Le but de ce Café Citoyen du 17 janvier est de réunir pour un dialogue ouvert, associations et citoyens intéressés, avec la possibilité d’une réunion ultérieure dans le cadre de la Biennale des villes en transition qui se tiendra cette année en mars à Grenoble (après Barcelone).

Tribune: Les politiques sont-ils légitimes pour révolutionner la citoyenneté ?

Les politiques sont-ils légitimes pour révolutionner la citoyenneté ?

Tribune écrite par Pascal Clouaire à la demande du  journal https://ledrenche.fr/  pour le sommet de l’OGP http://www.opengovpartnership.org/ et de le « digital society forum » http://digital-society-forum.orange.com/.

Cette question relève a priori d’une contradiction dans les termes, c’est-à-dire d’une opposition irréconciliable entre l’idée de « révolution » et celle de « légitimité » d’un régime politique, ici celui de la démocratie. La révolution est, par définition, la forme extrême du renversement d’un régime conduisant à la fin de ses institutions. Et si l’on s’en tient à cette logique, il faut répondre par la négative à la question posée et conclure que la révolution citoyenne ne peut pas provenir « des politiques » en tant que représentants du pouvoir établi. Mais comme chacun peut le constater, nous traversons une crise aigüe de la représentation, un déficit de la citoyenneté dans le sens ou le citoyen apparait trop souvent empêché de définir des politiques publiques. C’est mon analyse, celle d’une crise de la représentation, d’une crise de confiance qui traduit un délitement de la représentation, une mise en cause des résultats de l’élection et, en conséquence, une prise en compte trop limitée du pouvoir du citoyen à agir et décider dans la cité.

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