Pour ceux qui se posent des questions qu’est-ce qu’il se passe pour la 7ème édition 2021 : https://www.grenoble.fr/2271-7eme-edition.htm
Le budget participatif revient le 7 juin

Pour ceux qui se posent des questions qu’est-ce qu’il se passe pour la 7ème édition 2021 : https://www.grenoble.fr/2271-7eme-edition.htm
A travers ses ouvrages, Guillaume Faburel* lance un manifeste pour lutter contre ce qu’il appelle la barbarie des métropoles, matérialisation du néolibéralisme urbain. L’auteur remet en question le discours de l’urbanisation généralisée du monde en pointant les dysfonctionnements et les impacts que génère la grande ville contemporaine : exclusion économique, ségrégation spatiale et souffrance sociale, tout en alimentant la crise écologique.
Nourri de ses 25 années de recherche et de militantisme, il fait un tour d’horizon des alternatives qui se construisent à l’extérieur de la métropole pour lutter contre la barbarie. Ces alternatives se structurent autour de 3 communs : le rapport au vivant, la coopération et l’autogestion.
Ces communs existent en dehors de la métropole. Pouvons-nous construire ces communs-là dans le monde urbain ?
Nous accueillerons tout au long de la soirée des acteurs et actrices du territoire afin de confronter les points de vue :
https://us02web.zoom.us/j/82181912129?pwd=OUR0WXBxc1pRYllFYThqRmgxS0ZIdz09
*Guillaume Faburel est professeur en géographie, urbanisme et science politique à l’université Lyon 2 et à l’Institut d’études politiques de Lyon.
Ce samedi 17 Avril, à 14h devant la MC2, une nouvelle Vélorution partira en direction de la belle électrique via la métro puis le palais de justice.
Voici le texte d’accompagnement des organisateurs (version longue)
Plus d’info : http://ici-grenoble.org/infos/la-une.php?id=11430
Le 17 avril, c’est un nouvel appel national à agir contre le réintoxication du monde, qui fait suite aux appels des 17 juin et 17 novembre 2020. A Grenoble, nous avions enfourché nos vélos pour ces occasions, et nous vous proposons de réitérer l’expérience, cette fois pour dénoncer l’urbanisation agressive de la métropole. En effet, cette envie de répondre à l’appel national nous est venue parce que plusieurs lieux installés dans la cuvette sont aujourd’hui menacés d’expulsion et de destruction par des logiques d’urbanisation et d’artificialisation, mais c’est aussi l’occasion de rappeler toutes les luttes qui perdurent dans la métropole contre les Grands Projets Inutiles et Imposés, pour la préservation des terres et pour notre droit à vivre et habiter la ville !